chapitre 5 Il y a de la place

 

Dimanche, Loïc quitte Bruxelles très tôt. C’est finalement les vacances d’hiver et il va dans les Alpes suisses. L’après-midi, il s’arrête dans le Jura chez des amis qui ont une grande maison de campagne. Le soir,  ils parlent et ils mangent bien. La chambre de Loïc donne sur la forêt et sur la petite route qui va au village voisin. Il est fatigué mais il ne peut pas dormir. À minuit, il entend le bruit d’une voiture qui s’arrête devant la maison. Qui arrive si tard ? Il se lève et va à la fenêtre. Un corbillard est garé devant la maison. Quelqu’un est mort ? Alors, au clair de lune, il voit qu’il n’y a pas de cercueil dans la voiture. À la place du cercueil, il y a une douzaine de personnes assises. Le chauffeur tourne la tête vers Loïc. Il dit quelque chose. Tremblant, Loïc ouvre la fenêtre :

-          Il y a encore de la place pour une personne ?

Loïc a très peur, il ferme vite la fenêtre et retourne dans son lit. Le lendemain matin, il ne sait pas s’il a rêvé ou s’il a vraiment vu le corbillard. Il ne dit rien à ses amis et repart tout de suite après le petit déjeuner. Dans la voiture, il pense à ce qu’il a vu cette nuit...ou rêvé. Il arrive à l’hôtel vers midi. Après le déjeuner, il achète un forfait, prend ses skis et part prendre le téléphérique. Il y a beaucoup de monde et il fait la queue. Quand la cabine arrive, les gens montent dans la cabine qui est presque pleine. Un homme se tourne vers lui et dit :

-          Il y a encore de la place pour une personne.

C’est lui ! C’est le chauffeur du corbillard. Loïc recule :

-          Non, merci. Je préfère attendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

chapitre 5 Il y a de la place ; vad betyder de fetstilta orden ?

 

Dimanche, Loïc quitte Bruxelles très tôt. C’est finalement les vacances d’hiver et il va dans les Alpes suisses. L’après-midi, il s’arrête dans le Jura chez des amis qui ont une grande maison de campagne. Le soir,  ils parlent et ils mangent bien. La chambre de Loïc donne sur la forêt et sur la petite route qui va au village voisin. Il est fatigué mais il ne peut pas dormir. À minuit, il entend le bruit d’une voiture qui s’arrête devant la maison. Qui arrive si tard ? Il se lève et va à la fenêtre. Un corbillard est garé devant la maison. Quelqu’un est mort ? Alors, au clair de lune, il voit qu’il n’y a pas de cercueil dans la voiture. À la place du cercueil, il y a une douzaine de personnes assises. Le chauffeur tourne la tête vers Loïc. Il dit quelque chose. Tremblant, Loïc ouvre la fenêtre :

-          Il y a encore de la place pour une personne ?

Loïc a très peur, il ferme vite la fenêtre et retourne dans son lit. Le lendemain matin, il ne sait pas s’il a rêvé ou s’il a vraiment vu le corbillard. Il ne dit rien à ses amis et repart tout de suite après le petit déjeuner. Dans la voiture, il pense à ce qu’il a vu cette nuit...ou rêvé. Il arrive à l’hôtel vers midi. Après le déjeuner, il achète un forfait, prend ses skis et part prendre le téléphérique. Il y a beaucoup de monde et il fait la queue. Quand la cabine arrive, les gens montent dans la cabine qui est presque pleine. Un homme se tourne vers lui et dit :

-          Il y a encore de la place pour une personne.

C’est lui ! C’est le chauffeur du corbillard. Loïc recule :

-          Non, merci. Je préfère attendre.

 

 

Chapitre 5; exercices ;  traduisez: *finns direkt i texten

 

1          

*det finns plats

2          

*Loïc är mycket rädd

3          

*när kabinliften kommer

4          

*han tänker på vad han har sett

5          

*är någon död?

6          

jag lämnar Paris idag

7          

han stänger fönstret

8          

hon öppnar fönstret

9          

*folk stiger på

10      

jag tar mina skidor

11      

jag står i kö

12      

jag är trött

13      

men jag kan inte sova

14      

hotellet är nästan fullt

 

Dimanche, Loïc quitte Bruxelles très tôt. C’est finalement les vacances d’hiver et il va dans les Alpes suisses. L’après-midi, il s’arrête dans le Jura chez des amis qui ont une grande maison de campagne. Le soir,  ils parlent et ils mangent bien. La chambre de Loïc donne sur la forêt et sur la petite route qui va au village voisin. Il est fatigué mais il ne peut pas dormir. À minuit, il entend le bruit d’une voiture qui s’arrête devant la maison. Qui arrive si tard ? Il se lève et va à la fenêtre. Un corbillard est garé devant la maison. Quelqu’un est mort ? Alors, au clair de lune, il voit qu’il n’y a pas de cercueil dans la voiture. À la place du cercueil, il y a une douzaine de personnes assises. Le chauffeur tourne la tête vers Loïc. Il dit quelque chose. Tremblant, Loïc ouvre la fenêtre :

-          Il y a encore de la place pour une personne ?

Loïc a très peur, il ferme vite la fenêtre et retourne dans son lit. Le lendemain matin, il ne sait pas s’il a rêvé ou s’il a vraiment vu le corbillard. Il ne dit rien à ses amis et repart tout de suite après le petit déjeuner. Dans la voiture, il pense à ce qu’il a vu cette nuit...ou rêvé. Il arrive à l’hôtel vers midi. Après le déjeuner, il achète un forfait, prend ses skis et part prendre le téléphérique. Il y a beaucoup de monde et il fait la queue. Quand la cabine arrive, les gens montent dans la cabine qui est presque pleine. Un homme se tourne vers lui et dit :

-          Il y a encore de la place pour une personne.

C’est lui ! C’est le chauffeur du corbillard. Loïc recule :

-          Non, merci. Je préfère attendre.