Parischiffres3

Terrain de football (FIFA)

0,7 ha

Tuileries surface

25,5 ha

 

enceinte Louis XIII place de la Concorde

longueur/largeur

920/325

Place de la Concorde

longueur/largeur 360/210

ha

8,64

église Saint-Laurent

511 basilique St-Laurent

 

885 dévasté par les Normands

 

1180 première église St Laurent attestée

 

1429 trop petite reconstruite gothique (consacrée 19/06)

 

1548–1596  le nef, toujours pas voûté

 

1655 voûte

 

1712 chapelle

 

1865 portail

 

1862-69 percée Magenta, façade

bd Magenta, long/largeur

1920/30 mètres

bd Magenta

Elle doit son nom à la bataille de Magenta, victoire remportée par Napoléon III le 4 juin 1859 durant la campagne d'Italie, en Lombardie, contre les troupes autrichiennes. La barrière Poissonnière est une ancienne barrière d'octroi de l'enceinte des Fermiers généraux.

Jacques Bonsergent

No 4 : immeuble dans lequel habitait Jacques Bonsergent, premier Parisien fusillé (le 23 décembre 1940) par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

bd Magenta

No 22 : emplacement du restaurant Véry où l'anarchiste Ravachol a été arrêté le 30 mars 1892. Pour le venger de la propriétaire qui l'avait dénoncé, les anarchistes y font exploser une bombe le 25 avril 1892 au matin.

 

rue de Rivoli

Elle est entamée en 1802. Partiellement réalisée en 1835, elle sera achevée en 1855 sous Napoléon III. Avec 3 070 m de long, c'était l'une des voies les plus longues de la capitale. Le nom de Rivoli est donné à la rue en 1804, après la victoire remportée par Bonaparte à Rivoli en Italie, les 14 et 15 janvier 1797. Le 9 octobre 1801, Napoléon ordonne l’ouverture de la rue de Rivoli et des rues adjacentes.

 

L’arrêté du 1er floréal an X de la République (21 avril 1802) précise en effet : "Les maisons ou boutiques qui seront construites sur ce lot ne pourront être occupées par des artisans et ouvrières travaillant du marteau. Elles ne pourront non plus être occupées par des bouchers, charcutiers, pâtissiers boulangers, ni autres artisans dont l’usage nécessite l’usage d’un four." L’article 6 précise : "Il ne sera mis aucune peinture, écriteau ou enseigne indicative de la profession de celui qui occupera sur les façades ou portiques des arcades qui décoreront le devant des maisons sur ladite rue projetée."

En revanche, la rue de Rivoli est une invitation à la promenade pour tous : "Des arcades couvertes, libres au public, dans tous les temps, offriront aux personnes qui fréquenteront le jardin un asile sûr et commode dans ces orages imprévus, si fréquents dans la belle saison."

 

Pyramides

La bataille des Pyramides a lieu le 3 thermidor an VI ( 21 juillet 1798 ) entre l'Armée française d'Orient commandée par Bonaparte et les forces mamelouks ..

Iéna

La bataille d'Iéna est une bataille qui oppose la France à la Prusse le 14 octobre 1806 à Iéna. Elle a lieu en parallèle de la bataille d'Auerstaedt, dans le cadre de la campagne de Prusse et de Pologne. Les Français sont commandés par Napoléon Iᵉʳ et les Prussiens par le général de Hohenlohe.

Wagram

La bataille de Wagram est une bataille de la guerre de la Cinquième Coalition, qui fut décisive pour son issue. Elle a eu lieu du 5 au 6 juillet 1809 dans les plaines Marchfeld (de), sur la rive nord du Danube, la principale zone de combats se localisant aux environs du village de Deutsch-Wagram, à 10 km au nord-est de Vienne. Les deux jours de lutte ont vu s'imposer l'armée impériale française, sous le commandement de Napoléon Ier face à l'armée impériale autrichienne commandée par l'archiduc Charles d'Autriche-Teschen.

 

Wagram fut la première bataille à l'issue de laquelle Napoléon échoua à obtenir une victoire décisive sans éprouver beaucoup de pertes. En effet, les Français perdirent près de 34 000 hommes à Wagram, auxquels se rajoutent les 20 000 perdus à Aspern-Essling. Contrairement à la campagne de 1807 où la victoire difficile et marginale d'Eylau avait été suivie d'un succès écrasant à Friedland, la campagne de 1809 s'est finalement achevée par une victoire coûteuse en hommes et peu convaincante.

Ceci pourrait être interprété comme étant la manifestation du déclin progressif de la qualité des troupes napoléoniennes, et de l'amélioration de celles de ses adversaires, qui ont désormais compris leurs erreurs passées et ont globalement appréhendé les stratégies de Napoléon. Ces lourdes pertes, qui incluaient des troupes expérimentées et une trentaine de généraux dont Lasalle et Lannes à Aspern-Essling, ne purent être compensées par la suite. La mise à l'écart du commandement de Bernadotte, conséquence de son échec à la bataille de Wagram, eut des conséquences inattendues : élu à la surprise générale héritier au trône de Suède l'année suivante, l'ancien maréchal s'avérera être par la suite un soutien décisif pour les Alliés.

Selon I. Castle, les pertes autrichiennes sont de 41 250 hommes, dont 23 750 tués ou blessés, 10 000 disparus et 7 500 capturés, alors que les pertes françaises se chiffrent à 37 500 hommes, dont 27 500 tués ou blessés et 10 000 disparus ou capturés. Quatre généraux autrichiens furent tués ou mortellement blessés : Armand von Nordmann (en)Josef Philipp VukassovichPeter von Vécsey et Konstantin Ghilian Karl d'Aspré.

 

 

Le colonel-major Pierre Daumesnil (1776–1832) perdit une jambe à Wagram.

L'avenue de Wagram, une des avenues qui conduisent à l'Arc de triomphe sur la place de l'Étoile à Paris, fut nommée en 1864 en mémoire de cette bataille ; une place et une station de métro ont également suivi.

 

Daumesnil

perd jambe à Wagram, gouverneur de Vincennes

 

Au centre, les Autrichiens réussirent à repousser le IXe corps de Jean-Baptiste Bernadotte, abandonnant Aderklaa, qui tomba aux mains des Autrichiens sans un coup de feu. En avançant dans le village, les Autrichiens repoussèrent les Saxons qui se débandèrent devant les tentatives de ralliement de Bernadotte. Napoléon rencontra alors Bernadotte en train de rallier ses troupes, et l'allégea du commandement du IXe corps immédiatement. Dans le but de repousser les Autrichiens, Napoléon rassembla 112 canons de tout calibre et forma en son centre une grande batterie, qui arrosa de plomb les colonnes autrichiennes. L'artillerie et les attaques de cavalerie stoppèrent la progression du corps de Kallowrat. Klenau entra en contact avec une division française, mais s'exposa aux canons de Jean-Louis-Ébénézer Reynier de Lobau. Le corps de Masséna, qui s'était retiré vers le nord, revint ensuite vers Aspern-Essling sous le feu autrichien, et fondit sur le flanc gauche de Klenau pendant qu'il essayait de se frayer un chemin dans les arrières gauches de Napoléon. Ce mouvement stabilisa le flanc gauche français.

Austerlitz

La bataille d’Austerlitz, surnommée la « bataille des Trois Empereurs », se déroule le lundi 2 décembre 1805, entre Brünn et Austerlitz, dans le sud de la Moravie, alors possession autrichienne.

Stalingrad

La bataille de Stalingrad est la succession des combats qui, du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, ont opposé les forces de l'URSS à celles du Troisième Reich et de ses alliés pour le contrôle de la ville de Stalingrad.

Place de la République

A l'origine, la Place de la République n'était qu'une petite place parisienne. Mais au 19e siècle, elle devient un important carrefour des transports parisiens (ce qui est encore le cas aujourd'hui !) et prend le nom de Place du Château d'Eau à cause de la Fontaine du Château d'Eau installée sur la place en 1811.

 

Peu de temps après, en 1854, la Place du Château d'Eau est aménagée par le Baron Haussmann dans son grand plan de remaniement de l'espace parisien sous le Second Empire. Haussmann aménage une grande place de forme rectangulaire, rasant pour ce faire plusieurs théâtres situés sur le Boulevard du Temple. L'architecte Gabriel Davioud crée, pour sa part, une nouvelle fontaine ornée de huit lions de bronze, qui sera elle-aussi déplacée - sur la place Félix Eboué, dans le 12e. 

 

En 1879, la place prend définitivement le nom de Place de la République en hommage aux valeurs de la République. Pour l'occasion, un concours d'architecture est organisé afin de dresser sur la place un monument à la grandeur de la République. Le concours est remporté par les frères Morice qui créent le Monument de la République, en bronze et haut de 25 mètres. Ce dernier est inauguré le 14 juillet 1883, jour de la fête nationale ! 

République long/larg

283/119 mètres

église de la Bonne Nouvelle

En 1551, une première chapelle est édifiée, dédiée à Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle en souvenir de l'Annonciation et détruite en 1590 par la Ligue lors du siège de Paris par Henri IV. En avril 1628, la reine Anne d'Autriche pose la première pierre d'une nouvelle église, érigée en paroisse en 1673. Ouverte en 1830

bataille Magenta

4 juin 1859 

Rivoli

14 et 15 janvier 1797

Pyramides

21 juillet 1798

Wagram

5 au 6 juillet 1809 

Iéna

14 octobre 1806

Austerlitz

lundi 2 décembre 1805

Waterloo

18 juin 1815

Stalingrad

17 juillet 1942 au 2 février 1943

Louis XIII le Juste

1610 – 1643

Louis XIV le Roi Soleil

1643 – 1715

Louis XV

1715 – 1774

Louis XVI

1774 – 1791 1791 – 1792

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bourbons 

Louis XVIII

1814 – 1815 et 1815 – 1824

Roi de France

Charles X

1824 – 1830

Roi de France

Orléans

Louis-Philippe Ier

1830 – 1848

Roi des Français